Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Enalla Tombetoile

Derniers commentaires
2 août 2010

Mon nouveau blog

Chose promise, chose due... Voici mon nouveau blog !

Ella G'Halbalon

Publicité
13 juillet 2008

La série de mes rêves...

pushing_daisies_comicon_2007

J'ai découvert une nouvelle série, il y a quelques mois. Grâce à mon homme. Coincé au Danemark, où il fait nuit extrêmement tôt, durant les mois d'hiver, il s'ennuyait profondément, et il est parti à la pêche aux nouvelles séries qui pourraient me plaire...  Et un beau jour, il m'appelle, et il me parle de cette nouvelle histoire qu'il a découverte : "C'est l'histoire d'un mec qui peut réveiller les morts, et son amoureuse, elle était morte, il l'a sauvée, mais s'il la retouche, elle re-meurt, du coup, ils peuvent pas se faire des bisous ni rien"

Les_seuls_baisers_possibles

Bon, présenté comme ça... Disons que j'étais dubitative. Et puis, à son retour du pays nordique, il me plante devant le premier épisode. Et là, c'est le coup de foudre. A tel point que j'enchaîne tous les épisodes déjà édités, et que je trépigne chaque semaine en attendant le prochain. Jusqu'à la grêve des scénaristes, qui a signé la fin de la première saison, avec seulement neuf épisodes. Neuf bijoux de l'audiovisuel. Neuf diamants, même. Signés par Bryan Fuller, juste le mec qui a signé Heroes (Deuxième meilleure série de tous les temps dans mon coeur) et Dead like me, et diffusés sur ABC depuis octobre 2007.

Charlotte_Charles__Chuck_Pushing Daisies... Un nom intraduisible, une atmosphère rétro émerveillée, une histoire complètement décalée, digne des grands maîtres du genre avec en première ligne Tim Burton, des couleurs, des couleurs, des couleurs... Et des personnages inventifs, adorables, lumineux toujours, et cet humour sous-jacent que j'adore...

.

Pushing Daisies, c'est LA série. LE rêve de série incarné. LE truc abouti, construit, génialissime jusque dans les moindres détails. C'est un univers merveilleux où l'on pénètre sur la pointe des pieds, de peur de briser le rêve. C'est juste. C'est parfait. Vous l'aurez compris, je suis complètement folle de cette série.

Ned

L'histoire est assez simple, finalement. Un jeune garçon, Ned, découvre lorsque son chien se fait renverser par un camion, qu'il a le pouvoir de réveiller les morts. En effet, lorsqu'il veut prendre son fidèle compagnon dans ses bras pour la dernière fois, celui-ci revit, joyeux et affectueux comme toujours. Mais ce "don" a un prix : si Ned ne retouche pas le "non-mort" dans la minute qui suit le premier toucher, une autre mort de taille équivalente se produit dans les environs; et, lorsqu'il retouche cette personne, celle-ci meurt pour la seconde fois, et définitivement. Tout cela, Ned l'apprendra à ses dépends et d'une bien triste manière. Et il décide alors de ne plus faire usage de son pouvoir un peu spécial.
Ned grandit, et devient pâtissier. Ses tartes sont les meilleures de toute la ville. Mais bon, Ned triche un peu, disons le franchement : tous les fruits qu'il touche revivent leur première jeunesse, du coup, ils sont toujours frais et bons. Et puis un jour, il fait la connaissance d'Emerson Cod, détective privé pourchassant un bandit, qui se tue et tombe dans les bras de Ned. On comprend tout de suite que le rusé Emerson se rende compte de la valeur ajoutée que peut devenir le don de Ned : il l'engage comme assistant, et l'emmène régulièrement faire un petit tour à la morgue, pour résoudre des crimes en demandant qui est le meurtrier... à sa victime.
Jusqu'au jour où cette victime se révèle être Charlotte Charles, l'amour d'enfance de Ned...

Je ne vous en dirai pas plus, parce que ce serait gacher votre visionnage. Car oui, je compte sur vous pour regarder tout ça, au plus vite !

Groupe_au_Pie_Hole
De Gauche à Droite : Les deux tantes de Chuck, Lily et Vivan, Emerson Cod, le chien de Ned, Charlotte "Chuck" Charles, Ned et Olive Snook

Bon, et puis la bonne nouvelle du jour, c'est que la série a été reconduite pour une seconde saison, qui débutera en septembre, toujours sur ABC!!

Plus de photos ici.

12 juillet 2008

Tout le monde s'éclate chez Mac Donald's (ou pas)

untitled

Mac Donald's, c'est l'enfer fait take-away.

naox543rNon, ceci n'est pas un énième article vous apprenant que vos enfants et vous-même devez votre obésité au géant américain, qu'il faut pas manger macdo parce que c'est gras, OGM, pour le travail des enfants et pour la peine de mort, et qu'il y a des rats dans les cuisines.

.

Parce que, soyons francs, MacDo, de temps en temps, ça fait bien plaisir. Que ce soit pour les souvenirs d'enfance que cela nous évoque, ou juste pour le plaisir coupable de manger quelque chose de bien gras et peu recommandé en matière de diététique, MacDo, je le répète, pas tous les jours mais à petites doses, c'est quand même pas mal. Et tant pis s'il y en a qui sont assez bêtes pour y aller quatre fois par semaine speach_choixans comprendre pourquoi ils deviennent gros !

Mais le problème, avec MacDo, c'est qu'on ne peut pas décemment y manger quand on est une princesse (en gros, toute femme normale qui se respecte un tantinet). Parce que d'abord, c'est plein de beauf', ensuite, c'est franchement pas classe, et conclusion, être vue au MacDo, c'est vraiment être en-dessous de tout.

Du coup, on y va en voiture, avec de grosses lunettes noires et une perruque blonde, ou alors, on envoie son chéri en acheter. Et si on se décide à y aller nous-même, on fait ça vite fait bien fait, lorsque le MacDo est plein et qu'on passera inaperçue dans la foule, et surtout, on ne s'attarde pas et on le prend à emporter.

Mais ce qui est invraisemblable, et surtout très problématique pour la chieuse que je suis, c'est qu'il semble qu'il soit impossible pour les vendeurs de boucler une commande correctement. Il manque toujours quelque chose. La boisson n'est pas la bonne. Les frites sont devenues des potatoes durant le trajet du poste de commande au poste "friture". Il manque les sauces...

C'est bien simple, à chaque fois que je vais au MacDo, il faut que je repasse derrière la personne qui me sert. C'est automatique, il y a toujours quelque chose qui ne va pas. Est-ce un complot ? Suis-je la seule à qui cela arrive ? Est-ce que le timbre de ma voix ne correspond pas à la longueur d'onde d'écoute des vendeurs ? Je ne sais pas, mais toujours est-il que c'est comme ça, au MacDo, rien n'est jamais comme je lemcdo voulais.

Et ça m'énerve. Ca me met dans une rage inouïe. Soyons honnêtes, est-ce que c'est vraiment si difficile que ça de se souvenir d'une commande en entier ? D'accord, ce boulot est pas marrant, mais bon, si on le fait, on assume, et on le fait bien, jusqu'au bout ! Je n'ai jamais travaillé dans un fast-food, mais j'ai déjà travaillé dans des cantines de cliniques ou dans des restaurants d'entreprises et c'est un système assez similaire, mais franchement, je n'ai jamais eu de problème pour me souvenir de tout ce que voulaient les gens...

Si j'en parle aujourd'hui ce n'est pas (seulement) pour me plaindre mais parce que cela me paraît assez symptomatique de la France aujourd'hui, et surtout des jeunes. Je suis jeune moi-même, alors non, ce n'est pas le millième râlage de vioque sur la "France d'avant qu'était mieux qu'la France d'aujourd'hui" et "ah ces jeunes tous des cons", pas du tout, loin de là même.

C'est juste que je trouve qu'aujourd'hui peu de gens font les choses à fond, que ce soit les tâches ingrates ou non. Lorsque je prends des petits boulots, les gens sont toujours impressionnés par mon professionalisme, ma rapidité, ma façon de m'investir, qui à moi me semblent naturelles mais qu'ils ne voient quasiment plus jamais chez les jeunes. Et les chefs d'entreprises que je connais me renvoient les mêmes échos. Et bien moi, je trouve ça triste. Nous sommes jeunes, justement, et nous devrions nous investir plus dans ce que nous faisons, même si c'est un job d'appoint. Il faut tout vivre à fond. On se connaît mieux soi-même ainsi. Et l'amour du travail bien fait, c'est extrêmement gratifiant, oui, oui. On aura tout le temps de faire les choses à moitié lorsqu'on arrivera à la retraite. En attendant, autant s'investir, car si l'on prend cette habitude dès aujourd'hui, à l'avenir, nous passerons moins à coté des bonnes choses, que ce soit dans le travail ou dans la vie quotidienne. Il y a une chanson du groupe Tryo, assez peu connue d'ailleurs, que j'apprécie beaucoup. Très simple, mais très juste, elle énonce "moins on en fait, moins on en fait". Gardons cette phrase à l'esprit pour se rappeler que tous les efforts que l'on peut faire aujourd'hui nous nourrissent, et créent une habitude de vie qui nous sauvera probablement dans l'avenir.

Et bordel, apprenez à prendre une commande, Nom de Dieu !

7 juillet 2008

Fred Vargas - Un lieu incertain

418cMHn7BwL__SS500_

Je suis, soyez en une fois pour toutes convaincues, une fan inconditionnelle de Fred Vargas. Je l'ai découverte il y a deux ans environ, avec une aventure d'Adamsberg, Dans les bois éternels, qui venait de sortir à l'époque. Une amie, venue passer quelques jours chez nous, l'avait avec elle et venait de le finir, et me l'a offert en partant, en me disant que c'était tout simplement génial.

h_9_ill_1062370_000_arp1591157Et c'était vrai. J'admire énormément cet écrivain pour sa plume, originale et pénétrante, pour ses histoires, fascinantes, que j'ai dévorées une à une dans les mois qui ont suivis. La seule chose que l'on pourrait lui reprocher, c'est peut-être de ne pas sortir de nouveau livre assez souvent.

Alors lorsque j'ai reçu un petit mail m'annoncant qu'un nouvel opus était sorti, je me suis figée devant mon écran, trop heureuse, et suis sortie immédiatement pour me l'acheter.

Cette nouvelle aventure d'Adamsberg se nomme Un lieu incertain, et c'est probablement mon préféré parmi tous ses romans. Le lieu incertain, c'est une tombe, une tombe plusieurs fois centenaire qui se cache au coeur des bois. Une tombe maudite, dans laquelle est enterré, selon la légende, l'un des plus grands vampires que notre Terre ait porté. Et pourtant, la découverte macabre de pieds attendant patiemment de pouvoir rentrer à l'entrée du bien connu, Highgate, cimetière londonien chargé en symboles, ne laissait pas présager que les vampires seraient au centre du contexte des meurtres que devra élucider Adamsberg.

Nul fantastique là-dedans cependant. Même si le doute plane toujours un peu, l'enquête demeure terre à terre et le meurtrier n'a rien d'un Drakul vivant seulement la nuit ou buvant le sang de jeunes vierges effarouchées. Mais l'enquête elle-même, si elle demeure intriguante, n'est pas vraiment, cette fois-ci, ce qui m'a le plus plu dans ce livre. Les errances d'Adamsberg, dans un pays qu'il ne connaît pas, m'ont charmée. Une fois de plus la part un peu "mythologique", si j'ose dire, de l'histoire, m'a passionnée, et le voyage d'Adamsberg en Serbie restera dans mon coeur comme le meilleur passage et le moment le plus rafraîchissant et planant de son histoire. C'est un homme renouvelé qui nous attendra dans le prochain livre, soyez-en sûres. Sans vouloir vous en dévoiler plus, sachez qu'une surprise de taille attend ce charmant commissaire au détour d'une page de ce nouveau roman !!

Et comme d'habitude après avoir fini l'un de ces romans, j'ai du mal à m'en remettre, impressionnée par la puissance de l'auteur, qui réussit à nous transporter de façon subtile. On plonge dans ses romans comme l'on plongerait dans une douce euphorie, trop heureux de découvrir une fois de plus les tréfonds de l'âme d'Adamsberg et les instincts de ce personnage indéfinissable et trop plaisant pour être réel, malheureusement.

Je recommande vivement la lecture de ce roman, et de tous les autres, si possible !

Photo de Fred Vargas : AFP/PIERRE VERDY

27 juin 2008

Vente privée... C'est fini !!

Bonjour à toutes !! Suite à la vente privée, qui s'est déroulée chez moi, voilà ce qui reste. Si certaines désirent me contacter par mail pour en savoir plus, savoir quand seras la prochaine vente, n'hésitez pas, tout ou presque est en photo dans l'album, et vous pourrez faire votre choix !

PICT0351 PICT0354

Débardeurs

-         Débardeur vert H&M, M, 1€

-         Débardeur marron à sequins PIMKIE, M, 2€

-         Débardeur rose pâle ETAM, 40-42, 1€

-         Débardeur MIM imprimés Africains, M, 1€

-         Débardeur MORGAN vert foncé décolleté travaillé, T2, 3€

-         Dos-nu MIM orange, T2, 50 cents

-         Débardeur ZARA blanc décolleté perles, M, 4€

-         Débardeur ZARA blanc décolleté perles noires bretelles larges, M, 4€

-         Dos-nu H&M rayures roses, 38 mais conviendrait peut-être aussi à un 36, 2€

-         Haut asymétrique MANGO motifs bariolés, M/L, 1€

-         Débardeur noir moulant, inscription « JE T’ADORE » en strass PIMKIE, M, 1€

-         Débardeur argent-doré (difficile à définir) ZARA, col en V avec un petit nœud, M, 4€

-         Débardeur noir MANGO en laine un peu chaud, M, 4€

Tee-shirts manches courtes

-         Haut blanc à pois bleus ZARA, Enorme goutte dans le dos, M, 4€

-         Haut vert en dentelle PIMKIE, 2€

-         Pull court vert et blanc MANGO, avec détail d’une rose, jamais porté, 5€

-         Haut blanc et turquoise, T.42, 1€

-         Haut gris PROMOD de cette année, L, 5€

-         Haut rayé vert et blanc, 2€

-         Tee-shirt basique en coton doux, rouge, M, 2€

-         Tee-shirt basique en coton doux, blanc, M, 2€

-         Haut noir classe avec un petit air vintage, très travaillé (boutonnière en biais, manches plissées, détail travaillé au bas), noir, 4€

-         Tee-shirt basique gris en coton, 46-48 (mais en fait convient un peu à toutes les tailles, à essayer), 1€

-         Tee-shirt KENZO JEANS blanc, L, 10€ (jamais porté)

-         Tee-shirt KIABI noir, motif d’ange à paillettes, M/L, 3€

-         Tee-shirt ETAM blanc, imprimé visage très romantique, 38, 7€

-         Chemisier ETAM rouge, 40, 3€

-         Tee-shirt ZARA jaune, col V, M, 2€

-         Chemisier vert clair ZAPA, M/L, 3€

-         Chemisier LA CITY noir et motifs psychédéliques bleus, T3, 6€

Tee-shirts manches longues

-         chemise blanche à long col, T. S/M, jamais portée, 10€

-         tee-shirt blanc petit bateau col rond, 18 ans, 3€

-         tee-shirt loose rouge ETAM, 42, 2-3€

-         tee-shirt loose vert H&M, 38, 1€

-         Chemise blanche rayée NARA CAMICIE, décolleté réglable, portée trois fois, 30€ (la marque est très chère à la base cette chemise valait 70€)

-         Chemisier bleu marine PROMOD, jamais porté, manches travaillées, S/M, 7€

-         Chemisier rose KOOKAI, jamais porté car acheté trop petit, T1, 9€

-         Tee-shirt KENZO Jungle blanc et imprimés, S/M, 5€

-         Chemisier FASHION ELLE, beige transparent, L, 1€

Pulls et tee-shirts chauds

-         Haut long gris, BY LAETITIA, Détail ceinture coulissante taille, décolleté en V, porté une ou deux fois, L, 7€

-         Pull gris foncé, M, 8€

-         Tunique gris foncé, M/L, 5€

-         Pull rayé marron et blanc ZARA, détail décolleté liseré doré, col en V très plongeant, M, 5€

-         Pull blanc col en V devant-derrière, en coton très doux et chaud, M, 6€

-         Pull beige en laine ZARA, col V devant-derrière, M, 8€

-         Pull rouge en laine Massimo Dutti, pull d’été (pas très chaud), S, 10€

Jeans

-         Jean ETAM, T.40, porté, très légèrement abîmé tout en bas des jambes, derrière, 10-15€

-         Jean Italien Stay Out, T.44 italienne (=40), mais taille petit donc à essayer, jolis détails, très bon état car très peu porté (j’ai pris du poids juste après l’achat…), 30€ (prix d’achat 60€)

-         Jean blanc WRANGLER, T.34-36 (à essayer car pas de taille sur l’étiquette), acheté sur Internet, jamais porté car la taille ne me correspond pas, ils se sont planté au shipping… Donc neuf et TBE, 40€

-         Jean blanc, T. 31 US (= 40-41) TBE, peu porté, 10-15€

-         Jean DIESEL, T.30 US (= 39-40) TBE, porté une ou deux fois, acheté par Internet un peu trop petit, 40€

Pantalons

-         Pantalon vert ETAM, T.42, mais conviendrait plutôt à un 40, porté, 10€

-         Pantalon ETAM beige en velours très fin, fermeture anciennement scratch remplacée par une attache, 38, 6€

-         Pantacourt ZARA doré en soie, M, 9€

Jupes et robes

-         Jupe DIESEL, mi-longue, T.29 (= 38-39 mais conviendrait aussi à un 40), très peu portée, joli détail goutte fermeture, TBE, 35€

-         Robe blanche à fines rayures vertes, en coton doux, M/L, 3€

-         Jupe MIM patchwork, 40, 10€

Vestes

-         Veste noire forme tailleur H&M, T. 40, peu portée, 15 €

-         Veste beige en coton doux ETAM, 40, 8€

-         Veste vintage blanche, M, 10€

-         Boléro marron, S/M, 1€

-         Boléro marron MORGAN, avec des sequins dorés, M, 4€

Chaussures

-         Paire de baskets PALLADIUM rouges T.39, portée trois ou quatre fois, achetées sur vente privée, 15€

-         Paire d’escarpins open-toe bleus Klein, T.40, très confortables, 6€

-         Paire d’escarpins vintage noir et blancs, acheté sur ebay et jamais portés, 7,5 US (39), 7€

-         Paire d’escarpins ZARA marron, jamais porté, T.38, 12 €

-         Paire de ballerines noires et blanches ERAM, peu portées, T.40, 5€

-         Paire de bottes marrons, à fourrure intérieure, avec les lacets et des pompons, SAN MARINA, achetées 40€, vendues 20€ (prix boutique 79€)

Sacs et accessoires

-         sac fantaisie léopard, 2€

-         une ceinture blanche mélange de cuir tressé, 4€

-       Un foulard rose 2€

PICT0356

Voilà mesdames, à très vite pour la prochaine édition !!

Publicité
25 juin 2008

SOLDES !!! Bon plan : Gaspard Yurkievich chez Espacemax

Les filles, n'attendez plus, et si jusqu'à 10h les magasins ne sont pas ouverts, vous pouvez déjà commencer à shopper confort, de chez vous, sur tout les sites de ventes privées que nous adorons toutes...

Mais voilà mon conseil aujourd'hui, après avoir passé en revue tout ce qui se passe sur le web aujourd'hui en termes de promo : Foncez sur Espacemax, et allez faire les soldes dans leur boutique Yurkievich... C'est là où se trouvent les plus belles réductions, les plus intéressantes, pour des paires de chaussures magnifiques et très confortables... Prêtes ? Partez !

Mes préférées :

fich_YUK1_01fich_YUK11_01fich_YUK12_01

24 juin 2008

Les scones...

Et voilà une nouvelle recette, très simple et très rapide, qui enchantera vos petits-déjeuners !!!

0404_SLT_scone

pour une quinzaine de scones :

Aliments :
- 500 g de farine pour gâteaux
- 2 cuillères à café de levure chimique
- 75 g de beurre à température ambiante (et de préfèrence, du beurre salé, le goût n'en est que meilleur)
- 50 g de sucre semoule
- 20 à 25 cl de lait
- 2 œufs

Ustensiles :
- Un saladier
- Une balance
- Un bol (pour réchauffer légèrement le beurre)
- Une cuillère à soupe
- Deux plaques de four et du papier sulfurisé

Préchauffer le four à 220°C et recouvrir deux plaques de papier sulfurisé.
Dans un saladier, mélanger la farine et la levure, puis le beurre en petits morceaux.
Mélanger du bout des doigts, pour obtenir une consistance granuleuse.
Ajouter ensuite le sucre. Battre les œufs et ajouter le lait tout en continuant de battre.
Garder deux cuillères de ce mélange de coté.
Ajouter progressivement les œufs battus à la pâte en tournant jusqu’à obtenir une pâte molle, humide et collante.
Cette pâte, très indisciplinée, ne voudra pas se laisser faire pour ce qui suit. Vous devrez donc vous battre pour gagner, voire demander de l'aide autour de vous. Il faut essayer, avec vos petites mains toutes propres, de la séparer en une quinzaine de "tas", que vous déposerez sur les plaques. Pour vous aider, vous pouvez laisser la pâte reposer au moins cinq minutes avant de vous lancer dans cette étape cruciale, et vous pouvez aussi la saupoudrer de farine, pour qu'elle colle moins, mais n'en abusez pas sinon les scones seront beaucoup trop farineux. Une fois donc vos petits tas achevés, vous pouvez, à l'aide d'un couteau ou d'une cuillère, leur donner une forme circulaire, c'est plus joli. (Ils ne seront pas parfaits du premier coup, mais ça viendra...)

Puis badigeonner avec le mélange d’œuf et de lait que vous aviez réservé auparavant.
Faire cuire 10 à 15 minutes, jusqu’à ce que les scones soient bien dorés et gonflés, si vous voulez tous les manger au même moment. Si ce n'est pas le cas, ne faites cuire jusqu'au vout que le nombre que vous voulez manger tout de suite. Pour le reste, sortez les du four cinq minutes avant la fin de la cuisson, puis conservez les au frais sur la plaque. Le lendemain matin, par exemple, vous pouvez les remettre au four et les faire finir de cuire afin qu'ils soient bien chauds pour la dégustation !
Moi, je tiens toute la semaine comme ça parfois (enfin quatre ou cinq jours). On peut aussi rajouter des pépites de chocolat dans la préparation, ou de petits morceaux de banane, mais moi je les préfère nature.

Une fois que c'est prêt, vous pouvez les déguster à l'irlandaise, avec du beurre et de la confiture, ou nature, ou avec tout ce qui vous fait envie !! Bon appétit !

20 juin 2008

Nous avons tout à apprendre de nos amies les bêtes...

La leçon du jour...
Avec Silk en personnage principal !

PICT0350

La meilleure façon d'utiliser un cahier, c'est encore celle-là... Comme coussin !

18 juin 2008

Le souvenir demeure, chaque jour, et rien ne pourra l'effacer...

ysl1sm

Ce matin, grâce à ce site, j'ai trouvé ça. Le dernier hommage de Pierre Bergé, le compagnon d'Yves Saint Laurent. J'ai trouvé ça tellement beau, ces mots, ce désespoir, et cette lumière, que je n'ai pas pu résister à le mettre en ligne.

1460216606_81f972b556_o         3247309

Hommage de Pierre Bergé à
Yves Saint Laurent

Le dernier hommage de son compagnon au grand couturier.


Yves...

Comme le matin de Paris était jeune et beau la fois où nous nous sommes rencontrés! Tu menais ton premier combat. Ce jour-là, tu as rencontré la gloire et depuis, elle et toi, ne vous êtes plus quittés. Comment aurais-je pu imaginer que cinquante années plus tard nous serions là, face à face, et que je m'adresserais à toi pour un dernier adieu? C'est la dernière fois que je te parle, la dernière fois que je le peux. Bientôt, tes cendres rejoindront la sépulture qui t'attend dans le jardin Majorelle de Marrakech.

C'est à toi que je m'adresse, à toi qui ne m'entends pas, qui ne me réponds pas. Tous ceux qui sont ici m'entendent, mais toi seul ne le peux.

Comment ne pas se souvenir? Je me souviens de cette première rencontre et de celles qui ont suivi. Je me souviens du jour où nous avons décidé –mais décide-t-on dans ces cas là?– que nos routes allaient se rejoindre et n'en feraient qu'une. Je me souviens de t'avoir annoncé sur ton lit d'hôpital au Val-de-Grâce que tu n'étais plus à la tête de la maison de Haute Couture qui t'employait et je me souviens de ta réaction: «Alors, m'as tu dit, nous allons en fonder une ensemble et tu la dirigeras.» Je me souviens de la chasse à l'argent, des écueils qui surgissaient de partout, mais pour toi j'aurais affronté plus de risques encore. Je me souviens de ta première collection sous ton nom, rue Spontini, et de tes larmes à la fin qui témoignaient de mois de doute, de recherche, d'angoisse. Une fois de plus la gloire était venue te frôler de son aile. Puis les années se sont succédé et avec elles les collections. Comme elles ont passé vite, ces années, et comme tes collections ont façonné leur époque. De tous les couturiers, tu fus le seul à avoir ouvert le livre de ta vie, à le commencer au chapitre I, à l'écrire, et à y inscrire le mot «Fin». Tu avais compris que l'époque qui s'annonçait ne demanderait ni rigueur ni exigence, et après un dernier défilé au Centre Pompidou qui demeurera dans la mémoire de la mode, tu as quitté à jamais ce métier que tu avais tant servi et que tu avais tant aimé.

Tu ne t'es jamais consolé de cette séparation. Tu avais une passion pour la création de mode mais, comme cela arrive parfois dans certains couples, le divorce était inéluctable. Ce qui n'empêche pas de continuer à aimer ni de souffrir.

Je veux te dire, moi qui fus ton plus proche témoin, qu'entre toutes, les qualités que j'ai le plus admirées chez toi sont précisément l'honnêteté, la rigueur et l'exigence. Tu aurais pu parfois te couler dans la mode mais tu n'y as jamais songé, fidèle au style qui fut le tien. Tu as eu bien raison, puisque ce style est celui qu'on retrouve partout. Peut-être pas sur les podiums de mode, mais dans les rues du monde entier. Ta complicité avec les femmes, que tu revendiquais haut et fort et dont tu étais le plus fier n'a jamais cessé. Avec Chanel –car si un nom doit être cité aujourd'hui, et un seul, c'est bien le sien–, Chanel qui t'avait désigné comme son successeur, tu auras été le couturier le plus important du XXe siècle. Elle de la première moitié, toi de la seconde.

Sur la plaque de marbre qui t'attend, au-dessous de ton nom, j'ai voulu que soit gravé «couturier français». Couturier tu l'as été ô combien! Tu as construit une œuvre dont les échos seront longtemps audibles. Français, car tu ne pouvais rien être d'autre. Français, comme un vers de Ronsard, un parterre de Le Nôtre, une page de Ravel, un tableau de Matisse.

Pascal, qui ne l'aimait pas, reproche à Montaigne de préférer son œuvre à tout. C'est Montaigne qui a raison. C'est ton œuvre qui t'a permis de vivre, de supporter l'angoisse qui fut la tienne depuis ton plus jeune âge. L'artiste est ainsi fait qu'il ne trouve de salut et de raisons d'espérer que dans la création.

Comment, à ton propos, ne pas citer Proust? Tu appartenais, en effet, à «cette grande famille magnifique et lamentable des nerveux qui est le sel de la terre. Tout ce que nous connaissons de bien nous vient des nerveux. Ce sont eux, et non pas d'autres, qui ont fondé les religions et composé les chefs-d'œuvre. Jamais le monde ne saura ce qu'il leur doit et surtout ce qu'eux ont souffert pour lui donner.»

Voilà, Yves, ce que je voulais te dire. Il va falloir se quitter maintenant et je ne sais comment le faire. Parce que je ne te quitterai jamais –nous sommes nous jamais quittés?– même si je sais que nous ne regarderons plus le soleil se coucher derrière les jardins de l'Aguedal, que nous ne partagerons plus d'émotion devant un tableau ou un objet d'art. Oui, tout cela je le sais, mais je sais aussi que je n'oublierai jamais ce que je te dois et qu'un jour, j'irai te rejoindre sous les palmiers marocains. Pour te quitter, Yves, je veux te dire mon admiration, mon profond respect et mon amour.

Pierre Bergé


par Pierre Bergé
Ecrit le : 2008-06-06
Copyright tetu.com

J'espère que le magazine Tétu ne m'en tiendra pas rigueur, cela vient de son site. S'ils désirent que je l'enlève, qu'ils me contactent.

17 juin 2008

NASTY GAL VINTAGE - La boutique en ligne

janice_1_
OH MY GOD !!!

Nasty Gal ouvre enfin sa boutique en ligne vintage particulièrement géniale, et je suis déjà une fan absolue! Au vu du prix taux de change du dollar ces derniers temps, il est clair qu'il va falloir se mettre à "empletter" de l'autre coté du Pacifique si l'on veut éviter la ruine dans notre pays au pouvoir d'achat en berne... Et parmi mes prochains achats compulsifs notoires on comptera probablement des incursions sur ce site !

Quelques photos pour vous allécher...

bboots_1dress_1gauzy_3lth1_1tent_1scrib_1pic_1

Alors, conquises ? C'est par ici...

Publicité
1 2 > >>
Enalla Tombetoile
Publicité
Publicité